Et puisque ça ne se passe jamais comme on l’attendait, le western mexicain devient DMM City.
Au milieu du mois d’août, existe un texte qui n’est pas si éloigné de la présentation d’aujourd’hui.
Le synopsis s’enrichit d’une présentation des personnages, d’une note d’intention, de quelques séquences.
J’ai brassé large. DMM City a avalé nombre de projets que j’avais en tête. Il a grossi, il s’est étendu. On peut aisément le qualifier de « baroque ».
Je n’ai jamais écrit pour la télévision jusque là. Je me suis cantonné au cinéma et à la radio.
Mais là, je le sens, il s’agit de télévision.
Un feuilleton, indéniablement. Je le sens. 26 épisodes!