« La fin de l’homme rouge » retrace l’histoire d’une utopie, sa victoire et sa défaite.
Svetlana Alexievitch est au cœur de cette histoire. C’est la « femme-oreille » – comme elle se définit elle-même – qui saisit les mots, les phrases et les exclamations. Elle écoute et son écriture se concentre sur l’amour, la jalousie, l’enfance, la vieillesse. Sur les milliers de détails d’une vie qui a disparu. Elle écrit et c’est aussi son histoire qui apparaît au détour de chaque page.