Note de propos

Faut rebondire. Alors on écrit des choses nouvelle. Une « note de propos ».

Juste en vrac pour ne pas oublier, quelques éléments pour ladite « note de propos »

PROPOS:
Questionnement sur la violence.
Questionnement sur le mythe.
Et au croisement des deux, comment naissent les héros sanguinaires d’aujourd’hui.
[cf. ancien dossier de présentation + notes]

VIOLENCE:
Espace de transgression. Violence sans motivation ni revendication.
Fuite en avant: les moyens augmentent sans cesse, les résultats baissent sans cesse.

La réaction à cette violence: policière primaire. Les autres qui pourraient réagir: Catherine et Valentine, décident de laisser faire, de suivre. Pas d’autres alternative à proposer. Dissolution de Catherine dans la violence des enfants. Altération de Valentine.
Altération aussi de Sean Penn et de son discours.

Mouvement social, évidemment, mais dépolitisation. [cf. rapport des RG commandé par Villepin: le communautarisme, présenté comme cause et non comme conséquence.]

Les enfants soldats….

Les perspectives, où se placent les émeutes d’octobre, les précédentes?

MYTHE:
Le héros sanguinaire.
Le mythe c’est Doroteo. Il n’est que la projection de ce que les autres voient en lui. Il calque son comportement sur leurs aspirations. Il devient le portrait qu’en a tracé les médias. Il devient ce que Fuentes cherche obsessionnellement à son sujet. Il devient, il est, il est dépassé, il court pour être au premier rang.

Sean Pean et les îcones de l’histoire.

CONCLUSIONS
Le mythe est-il soluble dans la violence? Non, la violence l’amplifie.

La violence est-elle nuisible? Non, elle est d’autant plus indispensable qu’elle est inutile: le charme des causes désespérées…

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